Petit dessin à l'arrache...

Disproportions qui fâche

Relâchement d'expressions

Combinaison 100% passion

A mort les injustes réalités!

Place à nos rêves bâclés!

Et même impossible, vivant

Loin des discours enchainant

C'est la jeunesse qui vient

A grand pas vers le demain

Ceux qui écraseront vos lois

Ceux qui brandissent leur foi

Mort à ceux qui ne vieilliront pas

Longues vies à Nous, Jeunes Rois

Fini le temps des chasseurs d'amour

Va petit renard, cours! cours! cours!

Arrête de m'oppresser, avec tes yeux magnifiques
Moi je n'sais pas aimer, ça m'rend mélancolique
Tu m'dis combien tu m'adore, mais je n'le mérite pas
Stop à tes compliments, tes mensonges, ce n'est pas moi

Tu voudrais que j'te prenne et n’être rien qu'a moi
Mais moi je pense que l'amour, ça loupe à chaque fois
N'use donc pas de tes charmes, en te croyant romantique
Tout ce que je vois en toi, c'est une vision diabolique

Ce n'est pas que je te hais
Et toi aussi tu me plais
Je ne veux pas être martyre
Prisonnier, qui doit souffrir

Tes cheveux m'attire, j'me couperais bien les doigts
Vu que t'es tellement loin, j'pourais les jeter sur toi
Tes jambes super sexy me donne des idées de menus
Mais j'préfère encore vomir en les imaginant velues

Moi je me trouve moches, tu répètes que je suis beau
Et merde ouvre les yeux! J'suis fringué comme un clodo
Quand tu scotch sur mon bras, j'te donnerai bien des baffes
Tu me dis: t'es mon artiste, c'est pour ça que tu m'agrafe

Ce n'est pas que je te hais
Et toi aussi tu me plais
Je ne veux pas être martyre
Prisonnier, qui doit souffrir

Jamais j'te ferai du mal, je n'pourais plus te détruire
Je ne vais pas être un doux, je préfère encore m'enfuire
Ça me fait peur que tu sois belle, devant toi je suis un rat
Moi j'te dis l'premier qui aime, c'est le premier qui mourra

Dans ta jeunesse tu m'éblouies

Mais ta beautés n'est pas une vie

Un jour ta face fera son temps

Pour toi non plus pas de sentiments

Ah que t'es belle futur poussière...

Ta petite peau douce éphémère

Aimes tu qu'on caresse tes os,

Ou préfères tu finir dans l'eau?

Je vois tes yeux dans leur orbite

De ton crane ternissant bien vite

Ne te cache pas dans le tombeau

Je te préfère en cendre dans un pot

J'emmerde, après tout, ton orgueil

A ta fierté, je claquerai le cercueil

Une juge finira, des siècles enfermé

Autour des laids qu'elle condamnait

Certaine étoiles brillent si fort

Que l'on croirait voir en elles

Ces phares qui menent au port

Leur bonheur semble le miens

L'une des plus belle s'en est allée

Elle laisse derrière elle son art

Encore ses parfums d'espérance

Elle reviendra d'un jour incertain

Revenant des plaines de l'amour

Trouver réponses à ses tendresses

Son bonheur sera le miens

Ces navires qui coulent et cris à l'aide

Peut être viendront à eux la solution

Devront-ils se soumettre à l'horizon?

Leur bonheur sera incertain

Oublié au plus profond des abysses
Vulgairement, moi je m'en retourne
Faire ce cailloux que je demeure

Dans l'infini de mon océan
Quelqu'un un jour me reprendra
Mais la marée l'emportera

Son bonheur restera miens

Aux fous qui cessent de croire
De peur de perdre le Nord
Fuyant les charmes de la mort

Leur bonheur ressemble au miens

Un œil qui a perdu sa perle salée
Renonce a connaitre les emprises
Sa détresse à jamais incomprise
Soumis à solitude pour l’éternité

Le miens, sec, renonce à l'émoi
Ce désert se vantant d'être aride
Embrase l'émotion comme l'avide
Que les nuits sont longues sans toi

Toi, mon cœur, mon âme, mon sommeil
Parti comme un tout avec mes rêves
En m'offrant aux folies qui me crève
Gravant sur moi les carnages d'une veille

A ce tourment qui a briser mes armes
Rendant granuleux tout les velours
A ceux qui ne croient plus en l'amour
Répondrais-je que je ne crois plus aux larmes?

Tu es peut être pas ma lumière

Ou mon étoile, ou ma sublime

Toi, non, s'il n'y avait rien

Toi, tu serais le mot "rien"

A l'orage, tu serais la rage

A la tempête, le grand carnage

Aux récif, les navires échoués

Aux marins, la seule bouée

Toi tu es au somnambule

Ce que représenterai la lune

Sa seule amie

Son désespoir

Si tu étais tout, même après tout

Ce qu'on endure, Et quand sa dure

Tu serais ma seule souffrance

Et si l'on pouvait choisir un peu

D’être plus tendre et moins vieux

Toi tu serais mon enfance

Je ne pourrai vivre sans toi

Y a la télé, toi t'es mon choix

Les cons te nomment "vie privé"

Moi je t’appellerais "Ma Liberté"

Et s'il faut mourir sans toi

Non, que l'on ne m’empêche pas

Il vaux mieux partir toujours

Que de renoncer à ton amour

Si t'es une hache, voici mon cou

C'est le jugement, reçu à genou

Avant t'avoir, j'ai cru être Roi

Alors de mes chaines, libère moi

J'ai inscris ton nom sur le toit du monde
Pour rendre plus beau ce qui m'inspire
Le ciel en rit de me voir te maudire
D'engrenages pourris qui le rendent immonde

Un soupire quand je cris ton nom sur les sommets
Et ton regard qui se tourne plus bas que terre
Au dessus c'est la vie, en deçà c'est l'enfer
Mon cœur se renferme pour tuer ces yeux gelés

Le souffle de silence dans le vide se meurt
De n'avoir ici bas que des défunts sans le deuil
On pourrait faire de ce crime un milliard de recueil
Mais l'on s'en veux à la folie, dans le but d’être meilleur

La violence et les prix ont grimpés à la guerre
Car si l'amour est gratuit tout le monde le refoule
Car si la guerre est fini on frappera sur les foules
Et toi tu devras choisir entre la paix et l'Univers